L’alizé….
Il est deux heures du matin, et Apsara, tiré par ses deux focs tangonnés, file à près de sept nœuds sous la lune, le pilote à la barre. La main sur le palan d’écoute de grand voile, je regarde l’écume à l’étrave, quelques mètres devant moi, au bout du monde. Nous avons affalé la grand-voile […]